Nouvelles

COIN-COIN!

19 mars 2019

Lieu : Renous (Nouveau-Brunswick)
Employeur : Université du Nouveau-Brunswick
En vedette : Amber Frak et Rachel Moran

Les postes d’Amber et de Rachel étaient soutenus en partie par le programme « Emplois verts dans des espaces verts » de Projet éducation forestière Canada, financé par la Stratégie emploi jeunesse du gouvernement du Canada.

L’aspirante à la maîtrise ès sciences en foresterie à l’Université du Nouveau-Brunswick Kelly McLean a embauché deux techniciennes de la faune par l’entremise de Projet éducation forestière Canada, Amber Frak et Rachel Moran.

Kelly tente de déterminer les effets des opérations de récolte sur la répartition du canard noir dans les forêts du Nouveau-Brunswick. Les canards vivent dans des endroits comme les lacs peu profonds, les étangs, les terres humides et les baies.

« La thèse de Kelly porte sur les canards dans les zones tampons des terres humides et vise à voir comment la largeur de cette zone influe sur le nombre de canards ou sur la nidification du canard sur la terre humide, explique Amber. Nous nous rendions à la terre humide et nous recherchions des nids. Nous faisions aussi des relevés en groupe pour chercher des canetons et déterminer combien il y en avait sur chaque terre humide chaque semaine et comment ils se portaient. »

Originaire de Chatham, en Ontario, Amber a terminé le programme d’études de trois ans sur les pêches et la faune au Collège Fleming. Elle poursuit maintenant sa deuxième année de biologie à l’Université Trent.

 

Il ne s’agit pas de sa première expérience de terrain. Elle a déjà travaillé à planter des arbres dans le Nord de l’Ontario et a été stagiaire d’entretien pour Parcs Ontario, technicienne en pêches pour le ministère de l’Ontario et technicienne de la faune faisant du baguage d’oies pour le ministère de l’Ontario.

C’était toutefois sa première expérience dans le monde universitaire, et elle l’a trouvée fort différente de ses expériences gouvernementales.

« J’ai l’impression d’en apprendre plus au sujet du processus, poursuit Amber. J’ai l’impression d’y participer davantage, et je sais un peu plus comment les choses se passent — par exemple, les étapes qui précèdent le travail de terrain. »

Amber dit avoir appris davantage à propos des projets de maîtrise en travaillant aux côtés d’une aspirante à la maîtrise ès sciences de la Faculté de foresterie et de gestion de l’environnement.

« Ce que j’aimais probablement le moins, c’est que nos relevés des reproducteurs nous obligeaient à nous lever extrêmement tôt le matin, vers 3 h 30, s’esclaffe-t-elle. Ce que j’aime le plus, c’est tout simplement de me promener sur le terrain et d’observer ce qu’il y a autour. On ne sait jamais réellement ce qu’on va voir, et il est plaisant de voir les différentes espèces et toute la faune. »

Initialement, Amber voulait devenir vétérinaire, mais la compétitivité du programme l’en a dissuadée. Sa mère l’a inscrite au collège Fleming, car elle savait que cela lui conviendrait.

« J’ai toujours grandi avec le plein air, car mes parents en sont de fervents adeptes, confie-t-elle. C’est d’eux que je tiens ma passion pour le plein air et la faune. »

Après ses études à l’Université Trent, Amber tentera d’aller directement sur le marché du travail, idéalement dans un emploi gouvernemental.

Pour en savoir plus sur le canard noir, cliquez ici.

NOUVELLES CONNEXES

Former une main-d'oeuvre résiliente et diversifiée

Former une main-d’oeuvre résiliente et diversifiée: Rapport Annuel 2023

Nous sommes ravis de publier notre rapport annuel 2023 – d’une autre année occupée pour Apprendre par les arbres Canada! Nous avons poursuivi notre travail visant à offrir un apprentissage tout au long de la vie par le biais de l’éducation environnementale et forestière et des plans de carrière.   Depuis 2018, APLA Canada a soutenu plus de 7 600 emplois verts et a attribué 50 % de ses placements à des femmes et 15 % à de jeunes autochtones. Nous…

LIRE LA SUITE

Emily Prouse sitting on a picnic table with a dog.

UN BESOIN DE VITESSE ET D’ÊTRE EN PLEIN AIR

Un article d’Emily Prouse Pendant deux étés, dans le cadre de mon emploi vert d’Apprendre par les arbres Canada (APLA Canada), j’ai eu la chance de travailler à la conception et la construction de sentiers de vélo de montagne, ce qui m’a permis de réunir ma passion pour le plein air et mon amour du vélo de montagne. Le fait d’être payée pour construire des sentiers dans les magnifiques forêts à l’extérieur de ma ville natale de Quesnel, en Colombie-Britannique,…

LIRE LA SUITE

Vérité, respect et réconciliation pour tous

SEMAINE DE LA VÉRITÉ ET LA RÉCONCILIATION 2023

À la fin de septembre, le Canada commémore la Semaine de la vérité et de la réconciliation 2023, qui se terminera par la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation et la Journée du chandail orange le 30 septembre. Au Canada, on estime que plus de 150 000 enfants autochtones ont été enlevés à leur famille et envoyés dans des pensionnats entre 1831 et 1996. Dans ces écoles, les enfants ont appris à haïr leurs langues, leurs cultures,…

LIRE LA SUITE

Les emplois verts d'APLA Canada a placé des jeunes adultes dans plus de 7000 emplois vert depuis 2018

APPRENDRE PAR LES ARBRES CANADA CÉLÈBRE L’INVESTISSEMENT DANS LES FUTURS LEADERS DE LA FORÊT ET DE LA CONSERVATION

Ottawa, ON — Aujourd’hui, l’honorable Steven Guilbeault, ministre de l’Environnement et du Changement climatique et ministre responsable de Parcs Canada, et l’honorable Marci Ien, ministre des Femmes et de l’Égalité des genres et de la Jeunesse, ont annoncé un financement de 7,54 millions de dollars sur deux ans pour employer des jeunes dans le domaine de la conservation du patrimoine naturel et culturel avec des organisations partenaires. Le gouvernement du Canada a accordé ce financement à Parcs Canada dans le cadre de…

LIRE LA SUITE

ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER